Comment le punk m’a aidée à accepter ma différence et m’a préparée à la culture queer.
Mais aussi : Crazy Ex-Girlfriend, Rock and Riot et Natasha Lyonne
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Comment le punk m’a aidée à accepter ma différence et m’a préparée à la culture queer.
Mais aussi : Crazy Ex-Girlfriend, Rock and Riot et Natasha Lyonne
Batwoman, super-héroïne ouvertement lesbienne, aura droit à sa propre série télé d’ici la fin de l’année. On ne sait pas grand-chose de la future série mais l’annonce du projet a fait grand bruit.
Il faut dire que malgré les costumes multicolores, les combinaisons en cuir, les bromances, les placards métaphoriques, une esthétique camp et des sous-textes et allusions, les personnages de DC et Marvel sont demeurés officiellement cisgenres et hétéros jusqu’à la fin des années 1980. L’heure de la revenge a sonné.
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J’entends souvent dire qu’il n’y a plus de problèmes de représentation des personnes LGBT+ dans la pop culture puisque que toutes les séries ont désormais leur personnage lesbien, bi ou gay. C’est bien évidemment faux. Il ne faut pas s’intéresser qu’à la quantité (on est encore loin du compte) mais aussi à la qualité.
Il ne s’agit pas juste d’être visibles dans les médias, il s’agit d’être visibles tel·les que nous sommes, il s’agit d’être représenté·es avec justesse et justice, il s’agit de permettre aux hétéro de nous comprendre. C’est exactement ce que Ryan Murphy (Nip/Tuck, Glee, Pose, American Horror Story) a fait avec sa série American Crime Story.
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Les Golden Globes sont de loin ma cérémonie préférée.
L’an dernier, c’était aux Golden Globes que les femmes d’Hollywood avaient montré leur solidarité face à #MeToo en portant des robes noires et en dévoilant l’initiative Time’s Up. Cette année, il y avait espoir que la cérémonie soit celle de la révolution queer. Raté.
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Adolescente, j’ai découvert les comédies musicales et mon coeur a fait boom. Avec les musicals, j’ai découvert le « camp », le goût pour le too-much, pour la surenchère, et l’acceptation de soi dans toutes ses intensités.
Et aussi : Schitt’s Creek et Muriel Robin
Le goût pour le réalisme du cinéma et des séries françaises conduit parfois à des œuvres d’auteur·rice dont le manque de glamour peut déplaire. Mais la série Hippocrate rappelle que le réalisme n’est pas réservé aux œuvres dramatiques et/ou misérabilistes. Le réalisme a définitivement sa place dans des œuvres grand public et peut permettre aux personnages LGBT+ d’émouvoir les spectateurs et spectatrices.
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